Détermination de la sensibilité d’un détecteur (200nm-30µm)

Bentham a fourni de nombreux systèmes de mesure de la sensibilité des détecteurs (de 200 nm à 30 µm). Un système typique, configuré à la fois pour la mesure de la sensibilité des détecteurs et les mesures de la source, est décrit ci-dessous.

Les principales caractéristiques comprennent : 

• La sensibilité spectrale angulaire et spatiale des détecteurs peut être mesurée avec un éclairage focalisé ou collimaté
• Toutes les optiques miroirs permettent une large gamme de longueurs d’onde
• Détecteurs de référence ou source de lumière calibrée automatiquement insérés pour l’étalonnage.
• Un nouveau système optique permet à l’opérateur de voir le détecteur (via l’image de la caméra) ou la source et de voir avec précision la position du spot d’éclairage (faisceau focalisé uniquement) ou la zone source mesurée.
• Le contrôle logiciel complet du goniomètre permet un balayage à point fixe, à angle variable ou à balayage complet.
• La disposition permet à un monochromateur de fournir à la fois un éclairage pour les détecteurs et une analyse de la lumière émise.
• Double monochromateur en option
• Système construit sur une planche à pain optique.
• Diamètre de 50 µm à 5 mm. Poutre collimatée de 2 à 30 mm de diamètre
• Etape x, y, q contrôlée par logiciel.
• La zone ouverte au point focal permet un détecteur jusqu’à 30 mm de diamètre.

Le logiciel comprend le calcul de l’efficacité quantique.

L’optique permet à la fois de produire un point focalisé à la surface du détecteur et de transmettre une vue générale du détecteur à l’opérateur via un oculaire.

Pour la mesure, l’ouverture en miroir à la fente de sortie du monochromateur constitue l’objet de l’image produite par le détecteur.

Pour la mise en place, un projecteur est utilisé pour éclairer le détecteur. La lumière réfléchie par le détecteur est envoyée « en arrière » à travers l’optique à imager à l’ouverture du miroir.
L’image de la caméra affichée sur l’écran du PC permet à l’opérateur de voir la plupart de l’image de la surface du détecteur réfléchie par l’ouverture en miroir, mais pas la partie qui tombe dans l’ouverture.

Étant donné que le même chemin optique est utilisé dans les deux sens, la section manquante de l’image correspond précisément à la zone du détecteur éclairée pendant la mesure.

L’opérateur dispose donc d’une méthode précise et non ambiguë pour positionner le point lumineux sur la zone du détecteur.

Lors de la fabrication, les miroirs de focalisation et de collimation sont ajustés pour donner des faisceaux concentriques à l’échantillon. L’installation de mise en place peut ainsi être utilisée pour positionner avec précision le faisceau collimaté.